Cannibalisme : Une jeune femme tue et prépare sa progéniture




La scène se déroule le lundi 14 septembre à Pitoa, dans la région du Nord, à quelques kilomètres de Garoua

 

L’enfant porté disparus à Badjengo, à une soixantaine de kilomètre de la capitale régionale du Nord, est retrouvé quelques temps après chez sa maman de 25 ans, tué, découpé et fumé, mis  dans une marmite et le reste dans une bassine. C’est grâce à l’un de ses enfants que la population sera alertée.

 

Selon des sources pas très fiables, la jeune mère aurait abattue ses deux enfants respectivement âgés de 3 ans et de 6 mois

 

Une situation qui dépasse l’entendement de la population. L’on se croirait dans un film d’horreur, mais pourtant c’est de la pure réalité.

 

Joël Godjé Mana

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

DECOUVERTE : « LE GUINAROU » CHEZ LE PEUPLE MOUNDANG

Image
Symbole, totem ou encore gardien représentant des dieux, le « Guinarou » reste un mystère. « Guinarou, Mazoumouri, Matekamta » sont là les différents noms du gardien de la culture moundang. Ne sortant que dans la nuit et à l’abri de tout regard, cet être suprême fait ses apparitions dans les funérailles de chefs traditionnels ou de grandes cérémonies comme « Kané » l’initiation des jeunes garçons. Le peuple moundang se retrouve au Cameroun dans la region du nord aux environ de la ville de Figuil, dans l’extrême-nord dans le département du Mayo Kani, Kaélé, fief du peuple moundang. Cependant, une grande partie se retrouve aussi au Tchad. En effet, le moundang camerounais ou tchadien à une seule et même culture qui tourne autour d’un être rare. Semblerai-t-il être une réincarnation ou une transformation mystique, la réalité de ce totem n’a jamais été révélé par aucune personne. Etre humain réincarné couvert de poil et de vêtement sombre ou bête pouvant transmettre des
Lire la suite

Nina Yekoui : Une nouvelle perle pour le gospel camerounais

Image
  De son nom d’artiste Princesse de Jésus, la ressortissante de l’extrême-nord Cameroun ouvre les portes du royaume de Dieu à travers la musique gospel. Amoureuse de la musique depuis son enfance, Yekoui Nina de son nom de naissance, découvre le gospel à travers l'école de dimanche à l'Eglise Evangélique Luthérienne du Cameroun (EELC), paroisse Sion 1 à Garoua. Pour cette jeune fille né en 1988, les portes du vocal s’ouvrent grandement et lui donne une ouverture à la musique. Avec des prestations dans un autre registre musicale du secondaire jusqu’à l’université, l’épouse de Paldou évolue à la chorale chérubin de Ngaoundéré et continue dès lors à œuvrer pour le gospel. Dans une région ou la religion musulmane est dominante, celle-ci a toujours su toucher le cœur de tous à travers ses prestations et sa voix unissant. Surement un appel de Dieu comme elle le témoigne si bien dans son premier titre «  Me voici envoie moi  », une manière de se dévouer à la cause du seigneur.   Pour
Lire la suite